Ce matin, en attendant Poulette chez le Thérapeute, j'en ai profité pour lire le Marie-Claire du mois d'avril. Il y avait tout un article là-dessus.
Les copines deviennent les nouveaux maris. C'est auprès d'elles que l'on se pose, que l'on se ressource. C'est auprès d'elles que certaines choisissent de passer le smoments clé de eur existence.
Et les pauvres maris, alors? Réduits au rôle d'amant ( c'est déjà pas mal), de pourvoyeur de fond ( il faut bien le choisir celui-là), de père des enfants ( demandez un cariotype et les antécédents médicaux sur trois générations)...
Nous sommes dans l'ère du vagabondage relationnel, accru par la multiplicité des sites de sorties amicales et de réseaux sociaux qui fleurissent - et entre nous, rendent la vie quand même assez sympa.
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